Un face à face !
La 1997 n°32 est faiblement compressée, les feuilles se détachent facilement. Le nez est un peu fumé mais cette note s’accompagne de parfums de fruits secs. C’est doux. La première infusion de 30s laisse apparaître une liqueur très légère, du moins visuellement. En bouche, le goût affiche une certaine plénitude « sphérique », malgré un léger goût de fumé, presque imperceptible mais qui semble inhérent à presque toutes les galettes vertes de moins de 15 ans… Ceci dit cette galette est très agréable en l’état et pourtant je suis à jeun et il est 6h30. 2ème infusion : La bouche est légèrement sèche mais je suppose que c’est la conséquence directe de mon ventre vide…Toujours est-il que ce 97 fait beaucoup saliver et semble développer un très beau Qi : je sens mon corps emplie d’une douce chaleur…. Rhâââaaa. Je serai tenter de dire que ce Pu-Erh a de la vie devant lui mais d’un autre côté je prends de plus en plus de plaisir avec de jeunes Pu-Erh. Cette galette est très réussie et le dosage parfait selon moi.
La 1996 n°14 qui suit, dosée à l’identique, est à la fois plus verte et plus fruitée en même temps ce qui se traduit par une certaine fraîcheur en bouche, un peu mentholée. En revanche la bouche est moins souple et plus marquée. A l’évidence ce 96 est moins prêt que le 97 et nécessite encore de prendre de la bouteille !
27 juin 2006
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1 commentaire:
C'est tout l'avantage d'avoir des insomnies, n'est-ce pas ?
Pouvoir déguster des thés sans se presser.
Belle envolée lyrique probablement due à l'heure matinale.
Bon, c'est pas tout ça mais je repars en vacances.
A bientôt.
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